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Les bons plans du Petit Paumé

Par Le Petit Paumé

Bon plan n°1 : Le bon plan culotté pour bien commencer l’année

Envie d’un bel ensemble pour tes nuits torrides (ou pas) post-SAT ? Besoin de te faire pardonner auprès de ta meuf après tes deux ou trois dérapages du nouvel an ? 

Ne cherche plus, le Petit Paumé a déniché le bon plan idéal pour toi : -35% sur toute la boutique Darjeeling pour les étudiants. 

Darjeeling c’est de la lingerie féminine en tout genre, pour la journée comme pour la nuit. Du string au boxer, du push-up au bandeau, du porte-jarretelles à la veste pilou-pilou, il y en a pour tous les goûts et toutes les envies. Si tu veux du sexy, tu seras servie et si tu veux du confort tu trouveras ton bonhor. 

Et qu’on se le dise, payer 40 balles un soutif que personne verra c’est relou, mais le payer 26€ c’est tout de suite mieux. Alors emlyenne ou emlyen, c’est le bon plan du moment qui te permettra de te faire plaisir, ou de faire plaisir, sans taper dans ton prêt étudiant ou faire une croix sur les évents du club voile. 

Il te suffira juste de présenter ta carte étudiante lors de l’achat et hop emballé c’est pesé à toi le confort et la qualité de la lingerie Darjeeling. Pas besoin de code promo ILOVEPP, c’est même pas un partenariat. 

La réduction est valable toute l’année, tu pourras même t’offrir un maillot de bain pour cet été, parfait pour les pool party de la JET ou pour n’importe quel toboggan douteux du WEI. 

Et si t’es encore trop pauvre pour Darjeeling, tu peux toujours venir aux évents du Petit Paumé, c’est gratuit et tu y trouveras encore mieux que de la lingerie.

Crédits : darjeeling

Bon plan n°2 : Gardez une carte dans la manche

Tu te réveilles, il est 12h, on est mardi. Encore habillé de la veille, tu tape « gueule de bois » sur Ecosia et remarque déçu qu’il n’y a pas plus de remèdes aujourd’hui qu’hier. La question, si tu étais en état de la formuler, serait de savoir pourquoi tu te retrouves dans un état pareil. En prenant ton café, tu te souviens pourquoi tu as tellement bu : un de tes coloc a gagné au chifoumi, vous avez joué au coin-coin plutôt qu’au stack. Comme d’habitude, tu as imposé ta descente de mâle alpha et l’a détruit sur un score de tennis, 6-1. Une victoire qui a le goût amer de la bière que tu as généreusement régurgitée un peu partout dans l’évier… 

Soudain, ton téléphone vibre. Dominique te demande où t’attendre cette aprèm. Quelle colle ! Ce serait plus facile d’y répondre si jamais tu savais qui c’était ! Si tu en crois son Insta, tu l’as invité pour gratter une place dans son lit. Si tu en crois son LinkedIn, c’est pour gratter un stage à Paris. Tu pleures, car tu ne sais pas (et que l’odeur de l’évier t’agresse les narines). Alors, tu décides de gratter la seule chose que tu puisses : du temps pour décuver et te rappeler. 

Après tout, il ne s’agit dans les deux cas que d’une mission séduction, et ça, c’est ton rayon : tu as déjà vendu du shampoing à un chauve, et sans promotion ! Tu réponds un bref « Att je te redis » et tu commences à te préparer. Même douché, tu sens l’alcool, on oubliera le café. La balade aussi semble une mauvaise idée, tu sais qu’il vaut mieux que tu évites de parler… Tu fouilles alors dans ton portefeuille, qui, vide, t’interdit d’autres options plus exotiques… Jusqu’à ce que tu remarques une petite carte que tu avais oubliée. La Carte Culture. Tu te souviens vaguement l’avoir achetée pour un rien en début d’année en te disant que ça pourrait être utile. Cinémas, spectacles, bibliothèques… et musées gratuits ! Voilà la solution ! Pas besoin de parler, pas même besoin de s’approcher, il te suffit de bien t’habiller et de hocher la tête pensivement de temps à autre. Et voilà deux heures pour essayer de se souvenir de qui donc est Dominique. Allez, tu peux être fier, t’as mérité une petite bière.

Pour seulement 15 euros, la carte culture donne : 

– Un accès gratuit aux collections permanentes et temporaires de six des musées de la ville pendant un an

– Le droit d’emprunter dans près de vingt bibliothèques municipales. 

– Des réductions sur les autres musées, sur les théâtres et concerts ainsi que sur les cinémas Lumières et Comœdia

Même le shampoing du chauve n’était pas aussi rentable !

Crédits : culture.lyon.fr