« Osez rêver et réalisez vos rêves ! », tel est le message fort et empli d’espoir que veut faire passer Dreamland à tous les jeunes d’aujourd’hui. Dreamland, c’est un projet porté par huit étudiants qui ont eux-mêmes décidé de réaliser leur rêve en se lançant dans la réalisation d’une œuvre documentaire sur les rêves de la jeunesse à travers le monde. Quatre mois de tournage, neuf pays à traverser sur quatre continents et près de 200 jeunes à interviewer à travers le monde, voici l’objectif ambitieux qu’ils se sont fixés afin de nous prouver que nos jeunes ne cessent de rêver et qu’il n’existe nulle limite à leurs rêves. Un projet qui vous fera rêver et vous donnera certainement vous aussi envie de réaliser vos rêves !
Interview de Paul, Théophile et Julie, membres du Projet Dreamland, par Clotilde Neau et Thomas Picchiarini.
Bonjour à vous trois, pour commencer, pourriez-vous vous présenter ?
Paul : Bonjour, je suis Paul Gourdon, j’habite à Chartres en région Centre, j’ai fait 2 ans de classe préparatoire à Rennes puis je suis entré à emlyon business school. Comme Théophile, j’ai fait partie de l’association Ligne 2 Mire, puisque depuis mon entrée à emlyon je rêvais de réaliser un projet audiovisuel ou musical.
Julie : Bonjour, je m’appelle Julie Marchal, j’ai 22 ans et j’habite en région parisienne. Avant emlyon business school, j’ai suivi 3 ans de licence en Angleterre et j’ai également rejoint par la suite l’association Ligne 2 Mire. J’étais aussi portée par cette passion de l’audiovisuel que j’aimerais explorer professionnellement.
Théophile : Pour finir, moi c’est Théophile. Je suis originaire de Bordeaux et j’ai intégré emlyon en même temps que Paul. Comme mes deux camarades, j’ai fait partie du pôle création de l’association Ligne 2 Mire car je partage également cette passion pour la vidéo.
Comment vous est venue l’idée du projet Dreamland initialement ?
Paul : Personnellement, avant même mon arrivée à emlyon j’avais pour ambition de réaliser un documentaire humaniste et fédérateur. Je souhaitais créer une œuvre pleine de poésie inspirée en partie du documentaire « Human » de Yann Arthus-Bertrand. Juste après les recrutements associatifs, j’ai rencontré Théophile qui partageait les mêmes rêves que moi. De discussions en discussions, nous avons modelé ce projet qui s’est affûté progressivement jusqu’à apparaître sous sa forme actuelle. Le maître mot était d’être ambitieux. Nous voulions avant tout fédérer les gens et leur donner envie de réaliser les projets qui les font vibrer et rêver. Pour y parvenir, nous sommes arrivés à la conclusion qu’il fallait montrer ce qui se faisait partout dans le monde ; montrer des profils de personnes qui, qu’importe leur origine ou leur culture, ont réalisé leurs rêves. Ces personnes qui ont franchi le cap représentent d’une certaine manière le message que nous portons et l’idée que nous défendons : celle que les rêves sont faits pour être réalisés.
Théophile : C’était aussi important pour nous de combattre cette idée que les jeunes ne croient plus en rien et ne rêvent plus. Par conséquent, ce projet s’est aussi forgé avec la volonté d’apporter de la positivité et de l’optimisme sur ce type de sujet. Enfin, j’ajouterais que le fait même de se lancer dans cette aventure était déjà une forme d’aboutissement puisqu’en le faisant, nous rendions réel un de nos rêves et ainsi, nous envoyions ce signal dont nous parlions plus tôt.
Pourriez-vous nous présenter le projet Dreamland de façon pratique ?
Paul : Nous aurons deux équipes qui partiront réaliser le tournage. La première sera composée de Paul et Julie, et la seconde d’Agathe et moi-même. Chaque équipe visitera neuf pays répartis dans deux régions. Paul et Julie feront l’Afrique et l’Amérique du Sud tandis qu’avec mon binôme, nous irons parcourir l’Asie et l’Europe.
Le voyage devrait durer 4 mois et débutera en juillet. Nous avons pour objectif d’interviewer au moins 200 jeunes. Puis, nous consacrerons les deux mois de novembre et décembre au montage du documentaire. Ainsi, début 2022 il devrait être prêt à la diffusion et il s’agira alors de le rendre visible au maximum. Il sera par exemple possible de le projeter dans la salle de cinéma de ma ville. Le but ensuite est de pouvoir en discuter et échanger avec ceux qui l’auront visionné pour remplir pleinement cette tâche d’inspiration que nous nous sommes fixés.
Pour le moment, nous sommes dans la partie de démarchage, que ce soit pour obtenir du financement ou de la visibilité. Nous avons déjà réalisé une quinzaine d’entretiens, qui nous permettent d’une part de nourrir notre reportage mais aussi de nous préparer pour ce voyage.
Julie : Je voudrais juste ajouter que pour le montage nous aurons l’aide de Marilyn Montieux qui est chef monteuse. Cette aide est très précieuse car elle nous assure un beau rendu final. Par ailleurs, l’objectif du projet est d’être absolument pédagogue, que ce soit envers les jeunes avec qui nous échangerons ou avec les spectateurs qui visionneront le documentaire.
Qu’attendez-vous à découvrir durant votre périple ?
Julie : Je pense d’abord que nous avons tous des attentes différentes. Pour ma part, je souhaite creuser particulièrement le sujet de l’auto-censure. J’ai envie de comparer les rapports au risque selon les différentes populations et leur propension à limiter leurs ambitions.
Théophile : Selon moi, l’intérêt, au-delà d’explorer les divergences entre les cultures, est d’observer à l’inverse les recoupements et les similarités. Il est évident que l’on ne rêve pas de la même manière selon d’où l’on vient mais j’espère que nous pourrons trouver une unité ou un point commun entre toutes ces personnes.
Paul : Pour ma part, j’espère que nous recevrons une majorité de regards optimistes sur l’avenir. Bien sûr, il faut avoir une vision critique. Il ne faut pas être naïf et faire comme si tout allait bien. En revanche, je crois qu’il est possible et souhaitable de conserver un point de vue optimiste et plein d’espoir sur l’avenir. C’est d’ailleurs plutôt le sens des premiers retours que nous avons en France. Je rejoins aussi Théophile sur sa recherche de l’unité. Nous explorons un thème très général qui permet à mon sens de tirer des généralités, même interculturelles. Il est souvent particulièrement compliqué de côtoyer l’altérité et les milieux sociaux auxquels nous n’appartenons pas. C’est pourquoi nous voulons, le temps d’un visionnage et d’un échange, rapprocher et lier des gens de tous horizons pour leur montrer qu’ils ont beaucoup plus en commun qu’ils ne le croient.
Quel est votre but à travers ce périple ? Que cherchez-vous à montrer ou à prouver ?
Théophile : Nous avons deux objectifs principaux. Le premier est d’inspirer autant que possible nos spectateurs, c’est pourquoi la partie échange est si importante. Nous voulons être ambitieux et avoir un véritable impact sur ceux qui visionneront le documentaire. La projection et l’échange doivent pouvoir faire évoluer les visions et transmettre le message que nous portons. Le second objectif tient à un but plus caritatif. Dans le cadre de ce voyage, nous avons créé une association et nous avons réalisé que nous pourrions l’utiliser plus largement afin d’aider des projets similaires. Il serait fantastique d’utiliser les bénéfices générés par cette aventure pour soutenir les rêves d’autres jeunes et leur permettre d’aller au bout de leurs ambitions.
Paul : Je suis tout à fait d’accord avec les deux objectifs énoncés par mes coéquipiers. Personnellement, je compléterais même avec un troisième objectif. Outre le message impactant que nous souhaitons faire passer grâce à ce documentaire, notre but est également de produire une œuvre réellement jolie et poétique. Nous n’avons pas du tout vocation à réaliser un documentaire à la caméra embarquée. L’objectif que nous poursuivrons lors des phases de tournage et de montage est vraiment de créer un documentaire qui soit beau à visionner.
Julie : J’ajouterais dans la même lignée que ce qu’a dit Paul que nous souhaitons également, grâce au documentaire Dreamland, transmettre des émotions aux personnes. En effet, si au moins une personne sort de la projection du film avec le cœur un peu grandi et qu’elle se sente remotivée à croire en ses rêves et mettre tout en œuvre pour les réaliser, cela sera déjà pour nous une immense victoire ! Si nous parvenons à avoir plus d’impact et à mener encore plus loin ce projet, c’est évidemment mieux. Cela dit, si nous arrivons déjà à produire un documentaire qui soit beau, émouvant et qui parvienne à remotiver certaines personnes, notre contrat sera complètement rempli !
Paul : Pour rebondir sur cette idée, nous pouvons d’ailleurs constater d’ores et déjà et à notre plus grande satisfaction, un réel engouement autour de notre projet. Nous sommes très heureux de recevoir de l’aide de personnes qui souhaitent mettre à profit leurs compétences pour s’impliquer avec nous dans ce projet. Par exemple, nous avons reçu des propositions d’aide de la part de personnes qui sont douées pour la photographie, le graphisme ou encore qui ont des compétences particulières en musique et ont donc souhaité aider les trois artistes qui travaillent actuellement sur la bande originale du film. Nous avons également reçu de nombreux messages de personnes qui nous ont contactés pour nous dire qu’il s’agissait pour eux d’un projet qui leur parlait, qui faisait sens et donc qu’ils avaient envie de s’y investir d’une manière ou d’une autre. Pour nous, c’est merveilleux d’avoir déjà de tels retours ! En effet, notre objectif était en autre de pouvoir fédérer autour de ce projet. Or, c’est exactement ce qui est en train de se passer !
Théophile : Oui, tout à fait. Paul et moi avons présenté ce projet pour la première fois dans un message posté sur les groupes facebook, lorsque nous cherchions d’autres personnes pour nous rejoindre dans cette aventure. Au total, nous avions reçu près de quinze réponses de personnes qui étaient prêtes à se lancer dans le projet ainsi qu’une dizaine de messages de personnes qui souhaitaient partir voyager avec nous. C’était la première fois que nous montrions réellement le projet et nous avons été étonnés de voir à quel point il avait suscité de l’enthousiasme et de l’intérêt, y compris à l’extérieur d’emlyon. Avoir une telle portée, alors que ce projet est initialement emlyen est incroyable!
Dreamland est donc un projet avec un message fort qui se veut très ambitieux. Toutefois, pouvez-vous nous en dire plus sur les difficultés d’un tel projet et dans quelles mesures pouvons-nous vous aider à les surmonter ?
Julie : La plus grande difficulté d’un tel projet est de parvenir à trouver des financements. En effet, nous avons peu de temps pour rassembler une somme d’argent assez conséquente qui servira à financer les visas, les vaccins, les trajets et tout le matériel dont nous aurons besoin pour faire ce voyage de quatre mois. Cette recherche de financements est d’autant plus compliquée dans le contexte actuel de pandémie. Je pense qu’il s’agit de la plus grande difficulté, voire de la seule, que nous rencontrons pour ce projet. Pour ce faire, nous allons notamment réaliser un financement participatif qui se tiendra au cours des mois de mai et juin prochains. Par conséquent, toute personne qui souhaiterait nous aider pourra soit faire des donations, soit tout simplement parler de notre projet autour d’elle. En effet, je pense qu’avec les dons, il s’agit de la meilleure aide que nous puissions recevoir. Cela permettra de faire parler du projet auprès d’entreprises, d’associations mais également auprès de toutes les personnes qui seraient prêtes à partager avec nous leurs rêves.
Théophile : Notre plan de communication est désormais lancé, nous avons aujourd’hui une page Facebook, une page Linkedin ainsi qu’un site Internet. Nous avons également pour projet de créer une page Instagram très prochainement. Par conséquent, toute personne qui pourrait partager notre contenu sur les réseaux sociaux nous aiderait vraiment à avoir plus d’impact et à créer une grande communauté derrière le projet. Je pense qu’il s’agit là d’un bon moyen de contrebalancer le fait que nous n’avons pas forcément beaucoup d’expérience dans la réalisation documentaire. Ainsi, si nous arrivons à générer réellement de l’intérêt pour notre projet, cela nous permettra de le porter le plus haut possible !
Vous allez réaliser des interviews dans des pays dont vous ne parlez pas forcément la langue. Selon vous, cela constitue-t-il un frein au bon accomplissement de votre projet ?
Paul : Non, selon moi, il ne s’agit pas réellement d’un frein à notre projet. En effet, il faut savoir que le choix des pays dans lesquels nous souhaitons nous rendre s’est fait en fonction de deux critères. Tout d’abord, nous voulions réellement avoir une mosaïque de pays qui nous permettrait de brasser une diversité assez importante en très peu de pays, soit 18 pays. Deuxièmement, nous avons choisi les pays pour lesquels nous disposions déjà d’un premier contact sur place. Concrètement, nous avons demandé à toutes les personnes de notre entourage qui avaient voyagé auparavant si elles avaient gardé un contact avec des locaux rencontrés. Par conséquent, les pays sélectionnés correspondent à des pays pour lesquels nous avons déjà ce premier contact avec qui nous pouvons échanger en anglais, en espagnol ou en français. Il constituera notre premier repère lorsque nous arriverons dans le pays et nous permettra ensuite de nous mettre en relation avec d’autres locaux.
En outre, nous prévoyons de nous rendre dans les alliances françaises de chaque pays. Il s’agit de relais de la culture française présents dans la capitale de chaque pays vers lesquels les étudiants locaux se dirigent afin d’en apprendre plus sur la culture et la langue française. L’échange culturel est donc très présent dans ces instituts. Les relais de la culture française nous permettront alors de rencontrer des étudiants locaux à qui nous proposerons de nous suivre dans notre périple afin de nous aider à traduire les interviews.
De plus, nous avons prévu d’aller dans les écoles de cinéma de chaque pays afin de rencontrer des jeunes étudiants qui, grâce à leur sensibilité voire leur expertise, pourront nous être d’une grande aide pour la réalisation de notre documentaire et également la traduction des interviews.
Initialement, nous voulions faire appel à un traducteur pour nous aider. Toutefois, dans une logique de réduction des coûts, nous avons cherché des moyens alternatifs et tout aussi qualitatifs pour le faire. Finalement, nous compterons donc énormément sur les rencontres que nous ferons sur place. Par conséquent, si jamais certaines personnes ont des contacts dans les pays que nous avons sélectionnés et qu’elles veulent bien nous les présenter, nous en serons ravis !
Avec le contexte sanitaire actuel et l’évolution de la pandémie de ces derniers temps, comment appréhendez-vous votre projet ?
Paul : La Covid est en effet souvent perçue comme un frein à notre projet par la majorité des personnes à qui nous en parlons. Ils trouvent cela étrange et quelque peu décalé de vouloir partir voyager maintenant compte tenu de la situation sanitaire actuelle et de son évolution. Selon moi, la Covid est réellement devenue l’excuse pour tout ce que nous voulons entreprendre aujourd’hui. Je pense que si quelqu’un veut vraiment réaliser quelque chose, ce n’est pas la Covid qui va l’en empêcher. Ainsi, en ce qui concerne notre projet, la Covid n’est pas du tout un frein. Nous aurons peut-être à nous adapter en fonction de l’évolution de la situation en changeant de destination par exemple. Toutefois, la Covid n’empêchera pas notre projet de se réaliser.
Quel est le message que vous souhaitez transmettre à travers votre projet ? Qu’aimeriez-vous que les personnes qui visionnent votre documentaire retiennent ?
Julie : Le message principal que nous aimerions faire passer à tous les jeunes à travers notre projet est : osez rêver et réalisez vos rêves !
Théophile : En outre, Dreamland adresse également un message aux personnes moins jeunes en les incitant à croire en ces jeunes qui ont des rêves. Il s’agit vraiment de l’autre sens qui se cache derrière notre projet mais qui est tout aussi important.
Clotilde : Dreamland pour vous, est-ce un rêve qui est en train de devenir réalité ?
Paul : Je pense que nous pouvons répondre par un grand oui collectif !
En ce qui me concerne, il s’agit d’un rêve qu’il fallait que je réalise avant de rentrer dans la vie active. Ce projet me fait rêver depuis plus de trois ans maintenant, lorsque j’étais alors en classe préparatoire. Ainsi, après presque quatre ans d’attente, ce projet s’est vraiment transformé en rêve pour moi. Je place beaucoup d’attente et d’espoir dans ce projet et j’ai réellement hâte de voir comment il va se réaliser !
Julie : De la même manière, Dreamland est vraiment un rêve que je réalise aujourd’hui. En effet, comme je l’ai évoqué précédemment, j’aimerais travailler plus tard dans l’audiovisuel. Toutefois, il s’agit d’une voie qui m’a toujours fait très peur et dans laquelle je n’avais jamais osé me lancer car j’avais pour référence les membres de ma famille qui avaient tous fait des études assez classiques. J’ai donc fait une licence de business, puis un master de business. Néanmoins, ces études ne me rendent pas très heureuse aujourd’hui. Je mûris alors petit à petit l’idée de faire des films et de me lancer complètement dans l’audiovisuel. Avec Dreamland, c’est la première fois que je me lance et que j’ose enfin commencer à réaliser mon rêve. Si ce projet est un succès, je sais que je vais faire cela toute ma vie ! Par conséquent, au-delà d’être un rêve, ce projet est pour moi la porte d’entrée à tout un nouveau champ de possibilités qui est magnifique et merveilleux.
Théophile : En ce qui me concerne, ce projet m’a fait repenser le sens de mes études à emlyon et notamment ma vision de l’entrepreneuriat. En effet, je me suis toujours dit que je souhaitais faire de l’entrepreneuriat, sans savoir réellement ce que cela signifiait. Grâce à ce projet qui a une réelle dimension entrepreneuriale, je découvre vraiment ce que veut dire créer, se lancer dans un projet et inspirer ceux qui nous entourent afin de parvenir à laisser une trace. Plus je travaille sur le projet, plus c’est dur ; plus j’y passe du temps et plus je me dis que je suis en train de vivre une aventure incroyable ! Peut-être qu’après ce projet, j’aurai d’autres rêves et d’autres envies. En tout cas, c’est tellement beau ce que nous entreprenons avec Dreamland en ce moment que je ne peux pas me dire qu’il s’agit seulement d’un projet, cela va bien au-delà !
Paul : Je suis entièrement d’accord avec Théophile sur le fait que Dreamland a une réelle dimension entrepreneuriale. Je pense que la réalisation d’un film, tout comme la création d’une association par exemple, s’apparente à de l’entrepreneuriat. En effet, nous créons quelque chose de A à Z, nous travaillons en équipe et nous essayons vraiment de créer de la valeur qui n’est pas ici associée au profit, mais plutôt à une valeur que nous pourrions nommée d’artistique. Dreamland a un côté entrepreneurial en ce sens et répond donc aux envies entrepreneuriales auxquelles j’aspire également depuis quelque temps.
La date de parution du documentaire Dreamland est prévue pour 2022. D’ici là, comment pouvons-nous vous suivre dans votre formidable aventure ?
Julie : Vous pouvez suivre nos avancées sur notre compte Facebook et notre page LinkedIn, ainsi que sur notre compte Instagram qui sera lancé très prochainement au mois de mai. En outre, nous tenons à jour notre site Internet sur lequel toutes les informations concernant notre projet et son évolution sont disponibles.
Avez-vous quelque chose d’autre à ajouter ?
Julie : Croyez en vos rêves!
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