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RACING Newsletter: la rentrée


Cette volonté découle des instincts protectionnistes du premier ministre shinzo Abe. Honda ( 3ème constructeur automobile du pays) est le seul constructeur japonais à ne pas être engagé dans des regroupements avec d’autres entreprises nippones. Selon le Financial Times, Honda est en désaccord avec cette proposition. La structure liant Nissan et Renault ainsi que sa complexité en serait la première cause. Le directeur général de Honda ayant également travaillé 10 ans chez Honda s’est opposé à ce partenariat. Le constructeur a décidé de se consacrer au redressement de l’alliance avec Renault.

Le mardi 11 août, le constructeur a annoncé un fractionnement en cinq de ses actions, ce qui revient à diviser d’autant le prix nominal de chaque titre (sans changer la valeur globale de l’entreprise) afin de faciliter son achat et sa revente « et de le rendre plus accessible aux salariés de l’entreprise et aux investisseurs », indique la firme dans un communiqué. Le prix de l’action avait flambé ces 6 derniers mois, passant de 760$ à plus de 1400$.

Le constructeur automobile avait l’intention de faire venir 531 salariés de son usine polonaise à Hordain, dans le Nord. PSA s’est alors engagé à « revenir sur cette décision ». Le secteur automobile est en crise en France. La lutte pour maintenir l’usine Smart en Moselle est un autre de ses combats. Peut-on alors continuer à conserver un savoir-faire et une production automobile en France ?

Laurent Tapie commercialisera dès 2022 la D12, une Formule 1 homologuée pour la route, premier modèle pour faire renaître la griffe de luxe Delage. Une marque de voitures de luxe endormie depuis 1956, un champion du monde Formule 1, un businessman au nom bien connu dans le milieu des affaires, c’est l’équation qui doit relancer Delage. La D12 aura un mode de conduite 100% électrique dédiée à la ville et pourra sinon atteindre les 350km/h.

Le pilote avec cinq pôles et cinq victoires en sept GP, répond que la faute ne repose pas sur les pilotes. Le britannique estime que la faute est à remettre sur « les décisionnaires, ceux qui dessinent les voitures, édictent les règles » et espère un changement en 2022. Il explique alors que les circuits aujourd’hui ne permettent plus de faire du « roue contre roue » et que les dépassements sont beaucoup plus ardus.